Chronique *3 ; The outsiders

STAY GOLD, PONYBOY. STAY GOLD.

(right in the feels *ugly cry*)

Titre français : Les Outsiders

Année : 1967

Auteur : S.E. Hinton

Langue : Anglais

1966. Tucsa, Oklahoma. Deux bandes rivales, les Socs, la jeunesse dorée de la ville et les Greasers, sortes de blousons noirs aux cheveux gominés, se livrent une guerre sans merci. Ponyboy Curtis, quatorze ans, est un Greaser. Il traîne dans les rues avec ses copains qui, comme lui, sont des loubards. Mais le meurtre d'un Soc bouleverse brutalement sa vie insouciante, le mettant hors la loi. Au fil d'événements dramatiques, le jeune garçon va devenir adulte et faire l'apprentissage de l'amour et de la mort. 

OH MY GOD! (j'avais écrit "oh my gold", lol well played brain, well played!).
Gros gros gros coup de cœur pour se livre (et le film qui va avec). 
J'ai acheté ce livre sur un pur coup de tête, parce que j'aimais bien la cover. Certes, je savais qu'un film existait déjà.. mais je ne l'avais jamais vu (Tom Cruise, berk!). Résultat : JE NE SUIS ABSOLUMENT PAS DÉÇUE!!!! C'est un pur délice aussi bien à lire qu'a voir *O*.
J'ai tellement adorée, que j'ai passé au moins 2 semaines avec lui dans mon lit, avant de le ranger dans ma bibliothèque, et j'ai acheté le Blu Ray aussi vite qu'il n'en faut pour dire "Ouf".

;* BOOK PART :

Que j'aime pas faire d'article sur les coups de coeur. Je ne sais jamais quoi dire. S'il s'agit d'un coup de coeur, c'est que forcément j'ai tout aimé, et que je n'ai trouvé que des points positifs à ce livre. L'époque dans laquelle se déroule l'histoire, l'ambiance électrique entre les Greasers & les Socs, la relation entre les frères Curtis et celle qu'on tous les membres du gang entre eux. 
Surtout le lien entre Johnny & Dallas. Le plus "damaged" de tous, changé à jamais après avoir été attaqué par une bande de Socs, en plus des abus qu'il reçoit à la maison et le Bad Boy que rien n'effraie, tout juste sortit de maison de correction et dont les parents ne se soucient pas. Ce n'est pas très original comme relation, mais j'aime. Bien qu'ils soient tous aussi proches que des frères, la relation entre ces deux là est vraiment touchante. Dally qui n'a pas peur de montrer ses sentiments envers Johnny, à quel point il tient à lui et le fait que Johnny soit le seul capable de le calmer un peu quand Dallas va un peu trop loin. Qu'il lui tienne tête alors que tous les autres le craignent un peu, et qu'il l'admire autant.. il le voit un peu comme un héro, ou du moins le genre de Greaser qu'il aimerait être.. surtout après ce qui lui est arrivé. They hurt me so bad, but I love them so much for that!

Maintenant, je n'ai qu'une seule chose "négative" à rajouter, lol : Fucking Connor McManus, man. Everytime I read Ponyboy's name I had his version of 'STAY GOLD PONYBOYYYYYY!!! STAY GOOOOOLD!!' popping in my head. Talk about a mood killer :3. 

;* MOVIE PART : 
Matt Dilloooon. Ahem. 
J'ai une petite préférence pour le film, je dois bien l'avouer. Bien qu'il soit très très trèèèès (a 100%) proche du livre.. il y a un petit quelque chose en plus qui fait que, je le regarde plus souvent que je ne lis le bouquin. Le casting est vraiment super, il diffère en tout point de celui que j'avais en tête au moment de ma lecture, mais il est largement meilleur.
Plus je le regarde et plus les émotions sont fortes, plus je m'attache aux personnages, plus j'ai envie de le regarder à nouveau et donc, plus je souffre avec eux.

Y'a pas grand chose a en dire, a part : PERFECTION. 

"When I stepped out into the bright sunlight, from the darkness of the movie house, I had only two things on my mind : Paul Newman and a ride home."

- BONUS -

damn son, you look (and sound!) great.